Plusieurs projets, notamment liés à l’urbanisme, verront le jour en 2018 à Pontarlier. On fait le point avec Patrick Genre, le maire de la capitale du Haut-Doubs.
L’îlot Saint-Pierre : Avec la démolition des locaux abritant les anciens abattoirs, ce projet a réellement été lancé. C’est un nouveau quartier, en plein cœur de la cité du Haut-Doubs, qui verra prochainement le jour. A terme, 250 logements sortiront de terre. Il est également prévu une maison médicale, qui sera une réalité dans le courant du 1er semestre 2019. Une trentaine de professionnels y exerceront. Sans oublier la résidence senior. Patrick Genre annonce également pour cette année, le lancement des travaux de réfection du lotissement Montaigne, avec la création d’une vingtaine de maisons mitoyennes.
La maison Chevallier : Selon Mr Genre, la fin de l’année 2017 a été très studieuse et le projet est en bonne voie. L’édile se félicite de la réflexion menée avec l’état concernant la sortie prochaine d’une étude de faisabilité d’adaptation de cette bâtisse pour le courant de l’année 2018. Une réflexion pourra être menée pour y développer des projets et notamment des services. L’installation d’une médiathèque et des archives mais aussi d’une résidence pour seniors avait un temps été évoquée.
L’îlot Lallemand : La Ville souhaiterait acquérir une partie de cet îlot pour poursuivre les travaux d’aménagement du centre-ville, en y incluant des logements.
Le centre nautique intercommunal : Les travaux devraient être lancés en début d’année 2019, pour une ouverture en septembre 2020. 2018 verra l’écriture du cahier des charges et la consultation des entreprises.
Mr Genre rappelle que tous ces investissements s’effectuent dans le cadre d’un environnement budgétaire contraint. « Grâce aux économies que nous réalisons sur le fonctionnement, grâce à une gestion dynamique de la dette et grâce aux efforts et au dynamisme économique du secteur, nous arrivons à compenser en partie les restrictions budgétaires et à toujours poursuivre l’aménagement du territoire. C’est quelque chose d’essentiel pour nous » conclut l’élu du Haut-Doubs.
